Les Diseurs de Rêves
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debrief Vaccin

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Message  albator Mer 12 Oct - 9:20

Ici venez parler de votre ressenti du GN des plus des moins, de se que vous souhaiteriez retrouver au prochain opus, de se que vous ne voulez surtout pas revoir, à vos plumes...

albator
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debrief Vaccin Empty Re: debrief Vaccin

Message  albator Mer 12 Oct - 9:25

tout d'abord l'histoire:

vous vous rappeler de la pluie de météores...

de l'incident de la centrale nucléaire au le 317 perdit les trois quarts de ces effectifs pour sauver la population civile...

du mur battis à la hâte par l'état français pour limiter la gangrène...

de l'abandon progressif de habitants de la zone par l'état français...

des pillages, des meurtres, de l'aide du 317, mais aussi des exactions de certains de ces membres...

du vaccin miraculeux créer par la firme mapie empêchant les radiations de ce fixer dans l'organisme, et donc de permettre une vie "normal" dans la zone, amis aussi d'aller "fouiller" les zones trop contaminées comme Paris...

mais...

savez vous pourquoi le mur à été battis ???

Pour pouvoir travailler en toute tranquillité, il fallait isoler la Zone. Cypher travaillait déjà les politiques au corps sur le coût grandissant de l’aide aux régions sinistrées. Le capitaine Manfred Rodolf eut l‘idée d‘une intoxication médiatique amplifiée chez les gouvernants par le lobby de Cypher.

Il fallait un choc imposant une décision sans retour du gouvernement. Un petit village à la frontière de la Zone était signalé comme le point de chute des quelques déserteurs par un obscur sous-officier de la police militaire, un certain Armitti. Manfred s’arrangea pour être de veille à l’état-major et ordonner le marquage laser et le bombardement. Une section du 317, conduite par le caporal Lireco s’occupa des survivants … Par la suite, on affecta Armitti au 317.

L’incident eut l’effet escompté et la loi de quarantaine fut votée en urgence. On dépensa les crédits attribués aux aides dans la construction d’un gigantesque mur destiné à isoler la région parisienne. Cypher avait désormais son laboratoire géant … Il voyait la chose simplement : la plupart des résidents étaient condamnés à long terme, autant que leur lente agonie ait une utilité réelle pour la grandeur de la République …

La prise de pouvoir …

Il fallut peu de temps à l’XPR pour prendre le contrôle de l’intérieur de la Zone avec un état-major dédié. Les stratèges étaient trop occupés à superviser sa surveillance. Quelques semaines après Heurtecourt, Cypher fut nommé chef d’état-major des zones sinistrées, officieusement. Tout ce qui se passait entre les murs serait sous la compétence de l’XPR. Ils pouvaient commencer les recherches.

L’ampleur des découvertes, phase 1

Prélèvements, analyses, reproduction, isolements. Les recherches menées dans la Zone aboutirent à des résultats fulgurants mais parfois bien loin des objectifs fixés. Il fut ainsi avéré que la radioactivité jouait un rôle salvateur sur certaines espèces, provoquant même des mutations inattendues. On dénotait une augmentation de l’agressivité, des capacités motrices et du potentiel de reproduction.

Les observateurs de terrain firent remonter des événements étranges, lumières, sons et même parfois musiques. De nombreux civils laissaient entendre que depuis la catastrophe, on croisait régulièrement des « esprits » dans certaines régions désertées. Bien sûr, jamais l’XPR ne put mettre la main sur un spécimen mais les rares médias présents dans la Zone faisaient régulièrement gorge chaude des événements les plus saugrenus. Un farfadet luisant et radioactif devint même le héros d’une série à petit budget tournée en Hongrie …

Louis Cypher chapotait tout. Il avalisait un choix d’expérimentation, l’ouverture d’un laboratoire, les sites de prélèvements, les études cliniques sur la population sous le couvert d’une assistance médicale, sans compter les études commandées par le gouvernement et la gestion des budgets et la sécurité.

Le Vaccin

Le problème principal de la Zone restait ses territoires fortement contaminés par la centrale de Lisses. Ils ne sont pas réguliers. Il s’agit plutôt d’un patchwork qui impose parfois des détours considérables (souvent dans des territoires incontrôlés). La plupart des résidents préfère le danger radioactif moins visible à celui des pillards. Une petite société eut l’idée de préparer un vaccin à partir des quelques brevets disponibles. Ce qui devait être qu’un produit sans lendemain révéla un véritable potentiel salvateur. La molécule composée avec des moyens dérisoires par le laboratoire fixait les élément lourds dans le réseau sanguin et l’évacuait presque en globalité. Le seul risque détecté restait celui de lythiase rénale pour les utilisateurs le plus faibles (essentiellement les personnes âgées), marginal au regard des besoins de la Zone. Toutefois, la phase test fut trop courte selon certains pour être vraiment fiable. A noter, il ne s’agit pas vraiment d’un vaccin mais d’un traitement durable susceptible d’être renouvelé.

La première injection fut un succès. Les effets secondaire des irradiations disparurent assez vite et on ne nota pas d’effet secondaire particulier. Le vaccin pouvait être prescrit en une ou deux fois. Pour des raisons de sûreté sanitaire, le laboratoire Mapie Group choisit la seconde solution.

L’ampleur des découvertes, phase 2

L’XPR assura une veille discrète sur le vaccin. Peu de temps après la vaccination, des rumeurs évoquent des groupes déambulant lentement en colonne dans certaines zones contaminées, des civils isolés partageant une charogne sur une route fréquentée, fuyant dès le passage d’une véhicule … Pour l’XPR, il y avait anguille sous roche. Cypher commanda une enquête. Les retours furent plus qu’étonnants.

Il fut établi que la plupart des civils aux comportements aberrants étaient dans les premiers à avoir subi l’injection du traitement. L’origine du mal viendrait-elle du Sodixivit ?

Le Patient Zéro

La première alerte fut une brève de l’institut veille sanitaire (IVS). On avait incinéré le corps d’un patient à l’hôpital pour éviter un risque de contagion. Selon toute vraisemblance, le patient était arrivé avec des maux de tête, une gêne à la lumière, en vomissant du sang. L’hôpital ne disposant pas des structures adéquates pour la conservation du corps, il fut détruit en suivant le principe de précaution.

Le Patient 1 : IN VITO dans les cartons

Cypher ordonne une enquête. L’XPR a vite fait de remonter la piste des civils en contact avec le patient zéro. Une jeune aide-soignante fut contaminée accidentellement pendant les soins d’urgence. Elle passa un week-end festif (dont un enterrement de vie de jeune fille avec pas moins d’une quinzaine de participantes). Elle souffrait de quelques maux de tête à son service suivant. L’XPR la surveilla de prêt et finit par organiser une enlèvement après avoir constaté les mêmes symptômes que le patient zéro, mais atténués.

Renommée EVA-1, l’aide-soignante, toujours en vie, malgré un état en dent de scie, est devenue un sujet d’expérimentation. Comprendre cette maladie devient une des priorités de Cypher et de son équipe.

Les premières analyses révélèrent la présence d’une molécule complexe inhabituelle dont l’architecture n’est pas sans rappeler celle des dérivés de la racine dite « Bouche à Miel », en sus de celle du traitement qui n’agit plus. De plus, le virus a muté en une seconde souche, encore plus virulente, encore plus létale. Les rares patients détournés dans les labos de l’XPR passaient par une état proche de la mort cérébrale pour se réveiller fortement désorientés, extrêmement agressifs et en état de crise. La plupart ne survirèrent pas, toutefois, on déplora deux évasions. Le potentiel de la mutation virale était sans précédent. Augmentation des masses et des tonicités musculaires, insensibilité à la douleur et à la peur, agressivité maximum et surtout effets immédiats et sans parade : il fallait une souche stable et exploitable. Quant au Patient 1, on retrouvait partiellement les mêmes symptômes, mais elle semblait résister à la maladie.

La contamination s’étendit. Les cas les plus désespérés mouraient loin de tout soin, d‘autres plus rares, atteignirent l‘hôpital mais dépérirent rapidement. L’XPR s’entendit avec Mapie group pour que la rumeur d’une épidémie ne se diffuse pas. Le laboratoire pharmaceutique déploya une unité chargée de trouver un antidote viable avec l’aide de l’IVS qui manda l‘XPR en soutien.

L’XPR ne communiqua pas ses premières découvertes, maintenant classées secret-défense depuis l’accord du gouvernement, ni même l‘existence du Patient 1. Le projet IN VITO fut avalisé par les plus hautes sphères militaires, Cypher aurait tout pouvoir dans la Zone.

Il fut convenu de procéder à une nouvelle campagne de vaccination afin de disposer d’une population exploitable pour l’étude. On présenta le projet à Mapie Group comme l’opportunité d’une vente massive de son traitement qui permettrait de mieux cibler les contre-indications. Cette population offrirait à l’XPR une large base d’étude pour leur arme bactériologique.


Le Plan B : Poussière

La phase terminale de l’opération IN VITO serait particulièrement délicate. Sous le prétexte d’un début de pandémie aigüe, l’XPR manderait un soldat de confiance pour piéger tout l’hôpital avec un explosif à haute vélocité. Ordre serait donné de déclencher les explosifs si la situation devenait incontrôlable. A la vue des tests et des recherches, il y a toutes les chances pour que cela soit le cas rapidement.



Le haut commissaire:

historique :

AVANT LA CHUTE

D'origines modestes, José Benedetti a suivi de brillantes études à l'institut d'études politiques de Paris. Après un début de carrière discret derrière quelques grands décideurs, il fut nommé directeur général de l’agence nationale de recyclage et porta un intérêt tout calculé au démantèlement des centrales nucléaires de type REP dits « de seconde génération ». Il fut réputé comme pour sa recherche de financements originaux, voire interlopes et surtout, son management sévère aux limites de la légalité. A l’agence, un jeune homme ne comptant pas ses heures attire son attention. Alisée Montignac est une jeune gratte-papier du service courrier mais, elle déborde d’idées et d’énergie. Il en fait son assistante.

Il s’ensuivit un passage comme secrétaire d’état à l’énergie où la nomenclature apprécia peu son zèle du respect des protocoles de contrôle mais qui lui permit d’obtenir une audience médiatique internationale.

Quelques années avant la catastrophe, un blog dévoila le scandale du stockage des déchets à faible et moyenne activité. Cuves usagées, stockage indélicat à proximité de quelques zones protégées, revente de certains équipements contaminés, etc. Les moyens concédés par l’Etat et les quelques innovations (sponsoring, donations) ne permirent pas d’assurer pleinement la mission de l’agence. A trop jongler avec les lignes de crédit, Benedetti a perdu de vue l’essentiel : le maintien d’un contrôle strict et permanent. L’agence n’ayant pas de compétences particulières dans ce domaine si ce n’est l’expertise, le traitement des déchets se noyait dans une cascade de contrats de sous-traitance, difficiles à contrôler et aux cahiers des charges douteux. La fuite, parfaitement organisée dénonçait plus les travers de l’agence et le refus des financements mais le mal était fait. Benedetti fut le fusible qui sauva le gouvernement. Le « Nukegate » le mit à genou, pour un temps.

La nuit de la catastrophe, José Benedetti était à Rotterdam pour un congrès sur la sûreté nucléaire. Sur le chemin du retour, il prit connaissance de l’envergure du désastre. Des millions de morts, des centaine de milliers de blessés et surtout, des autorités complètement dépassées par les événements.

A Cergy, il instaura un couvre-feu, le rationnement et réquisitionna les stocks de tous les commerçants. Il fallait parer au plus pressé, des soins, à manger et à boire. Alors que la plupart des politiques survivants se réfugièrent en province, il resta. Il fut l’un des rares. Bientôt Cergy devint un exemple de gestion de crise. Journalistes et politiques affluèrent pour un temps. Son point presse quotidien, diffusé sur « RadioRad 90.00 mégahertz », bref mais précis, devint rapidement la vitrine du désastre, pour la France et le monde entier

Il fut l’un des premiers à surenchérir aux décrets présidentiels, arguant de son pouvoir de police en tant que maire. Face à la montée de l’insécurité, il autorisa le port des armes de poing. Il mit en place une milice « citoyenne » destinée à maintenir l’ordre, s’appuyant sur Serge Damour, ancien militaire et directeur de la sûreté publique de la ville.

La milice atteignit bientôt des effectifs pléthoriques et on lui signala les premiers débordements. Intimidation, violence gratuite, racket, Serge Damour passait le plus clair de son temps à sanctionner les moutons noirs mais, de toute évidence, avait créé un outil idéal pour le maintien de l’ordre en temps de crise. Il fallait juste renforcer les critères de sélection.

Quelques mois après la catastrophe, l’Etat décrète la quarantaine. Il délimite un no man’s land et sécurise les accès aux zones sinistrées. Les réfugiés sont refoulés, les visites interdites. En quelques semaines, un mur haut de cinq mètres ceinture la Zone. Les fonctionnaires chargés de la surveillance ont ordre de tirer à vue sur tout contrevenant. José Benedetti, toujours député et jouissant d’un laissez-passer officiel, est un des rares à pouvoir en sortir. Dans la nouvelle capitale, il dénonce ces mesures et démontre clairement que les crédits alloués à la quarantaine auraient pu être attribués plus utilement à la reconstruction. Sans succès, désormais les survivants étaient seuls.

Progressivement, les communes sinistrées s’organisèrent sur le modèle de Cergy. Les rares élus encore présents initièrent une votation populaire pour élire un conseil de la Zone. Assisté de son bras droit, la discrète mais diablement efficace Alisée Montignac, il fit campagne dans des conditions désastreuses et fut élu par le conseil au titre de président des régions sinistrées. La votation fut invalidée par le conseil constitutionnel et cette nouvelle autorité lutta au quotidien pour se faire reconnaitre. Entre temps, il y eut cette affaire de traitement des eaux, sujet plus que sensible dans la zone. Alisée avait initié la nouvelle politique de recyclage. Il fallait déployer de nouvelles technologies et lorsque l'IFREMD proposa l'usage des sulfates d'alumine pour éviter toute contamination extérieure, Benedetti signa. Tirés d'une racine tropicale, les molécules étaient capables de fixer les radionucléides mais aussi les toxines traditionnelles. Le brevet étant d'état, il n'y aurait pas de royalties à payer : une aubaine ... Autant de crédits qu'on pourrait réaffecter aux soins.

Le Maire avait rapidement compris tout l’intérêt d’avoir accès aux sanctuaires du pouvoir parisien. Son assistant lui souffla cette opportunité comme un levier pour négocier l’afflux d’aides de l’extérieur. Certains quartiers de Paris, même complètement contaminés, restaient des mines d’or pour qui savait négocier objets ou informations. Bien sûr, il ne fut pas le seul à avoir cette idée. Une foule de brocanteurs de fortune risquaient chaque jour leur vie pour un troc dérisoire. Yvan Hassani, acine lieutenant de la Criminelle passé sous ses ordres pendant la catastrophe forma un détachement de la milice citoyenne à la récupération des documents gouvernementaux : les Liquidateurs étaient nés … Ils furent un levier puissant permettant de négocier les aides de l’extérieur ou de l’intérieur. Sous bonne escorte, ils trouvaient le meilleur. Alisée Montignac, connaissant bien les institutions, les guida dans leurs recherches. Au final, José Benedetti se chargeait de négocier cette manne avec l’Etat.

Le projet de vaccin venait de tomber sur le bureau du maire comme une pomme bien mûre, prête à être cueillie. Une entreprise pharmaceutique de la Zone proposait un traitement bloquant la fixation des radionucléides et favorisant leur élimination optimum. Le SODIXIVIT (surnommé Sodix) ne serait pas la solution à tous les problèmes mais permettrait de limiter les crédits et les ressources alloués aux soins médicaux, surtout dans la durée … Benedetti accepta la première campagne d'injection mais sous les conseils avisé d'Alisée, temporisa pour la seconde.

Toutefois, la Zone devenait un furoncle que la France souhaitait oublier. Les pouvoirs publics locaux se démenaient pour maintenir un semblant d’ordre et l’accès pour tous aux soins et au ravitaillement. Face à eux, l’Etat, fort de la loi martiale, comptait plus sur les militaires. Nombreux, entraînés et bien armés, ils s’arrogeaient chaque jour plus de prérogatives. Les conflits larvés entre pouvoir civil et militaire se multipliaient et on dénombraient de plus en plus de réquisitions sauvages.

A ce titre, l’incident du Pont de Bezons fut significatif. José Benedetti apprit qu’un hélicoptère lourd en provenance du nord s’était posé dans la Zone et déchargeait du matériel. Escorté par quelques membres confirmés de la milice citoyenne et Serge Damour, il tenta de le rejoindre. Quelques militaires zélés lui bloquèrent le passage mais bien pire, une seconde section arrivant sur site exigea leur désarmement et tous les vivres en leur possessions. La situation dérapa instantanément lorsqu’un bidasse s’en pris à une milicienne.

Les militaires, plus soudards que tacticiens furent invités à reconsidérer leurs injonctions au claquement sec du calibre 7.62 de la milice Ce qui faillit être une escarmouche fut un massacre. Une poignée de miliciens, rompus à l’escarmouche depuis plus d’un an, parfaitement encadrés par Serge Damour, avait décimé la première section et assiégé la seconde sur une aire d’autoroute. Le capitaine Jack d’Albignac, arrivé sur le tard, initia les pourparlers pour un cessez-le-feu. Benedetti annonça clairement la couleur. Serge Damour avait identifié quelques militaires accusés de pillage et de racket. La section désarmée pourrait rejoindre sa base si elle leur livrait les soudards reconnus. D’Albignac céda pour sauver le reste de ses hommes. Le maire les fit juger par un tribunal populaire. Ils furent condamnés à la peine capitale et pendus sur le parvis de la mairie. Les quelques médias présents n’en perdirent pas une miette.

Le lendemain, l’Etat, par la voix du ministre de l’intérieur, destituait Benedetti de tous ses mandats officiels. Ordre lui était donné de dissoudre les milices citoyennes sans délai, au risque de voir l’armée s’en charger. Afin d’éviter un bain de sang, le maire s’exécuta publiquement. Les milices restituaient un peu partout leurs armes de guerre dans la Zone, sous les cameras de la presse internationale.

Benedetti n’en resta pas là … Fort de quelques contacts internationaux, il dénonça devant la presse les exactions des militaires, la situation déplorable des civils et brûla publiquement son laissez-passer. L’image de l’élu légitime face à la violence d’une loi martiale inique fit le tour du monde. La pression internationale fut telle que l’Organisation des Nations Unis menaça la France de déclarer les territoires dévastés « Zone d’assistance internationale ». Le président de la république apparut sur tous les réseaux quelques heures après pour nommer Benedetti « Haut commissaire chargé des zones sinistrées et reconnaissait la votation. Enfin la Zone avait un pouvoir civil. Maintenant, il lui fallait des moyens.




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Message  albator Mer 12 Oct - 9:52

L'XPR utilisa toutes ses "patients" à bon escient, ce n'était plus des humains mais des cobayes de laboratoire...

et cela paya...

des recherches sur la zombification il découla...

un antidote

un vaccin permanent

et surtout une arme bactériologique stable et redoutable...

mission accompli malgré les pertes du aux assauts répétés des zombis venant de la ville toute proche...

le colonel déclencha le plan poussière, mais manquant de temps et de personnel il ne pu placer qu'une bombe au lieu de deux, appela l'hélico pour évacuer ces hommes (XPR) sacrifiant le 317 au champs d'honneur...

le colonel fut mordu en se rendant sur le site d'extraction, les zombis attirer par le bruit de l'hélico attaquèrent en masse...

prenant d'assaut le moyen de transport, les militaires tirant sur tout ce qui bougeais sans chercher à savoir si c’était humain ou zombis...

un zombis (super) réussi à pénétrer dans l"hélicoptère et su cacher son état un moment...


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Message  albator Mer 12 Oct - 10:02

L'XPR utilisa toutes ses "patients" à bon escient, ce n'était plus des humains mais des cobayes de laboratoire...

et cela paya...

des recherches sur la zombification il découla...

un antidote

un vaccin permanent

et surtout une arme bactériologique stable et redoutable...

mission accompli malgré les pertes du aux assauts répétés des zombis venant de la ville toute proche...

le colonel déclencha le plan poussière, mais manquant de temps et de personnel il ne pu placer qu'une bombe au lieu de deux, appela l'hélico pour évacuer ces hommes (XPR) sacrifiant le 317 au champs d'honneur...

le colonel fut mordu en se rendant sur le site d'extraction, les zombis attirer par le bruit de l'hélico attaquèrent en masse...

prenant d'assaut le moyen de transport, les militaires tirant sur tout ce qui bougeais sans chercher à savoir si c’était humain ou zombis...
un zombis (super) réussi à pénétrer dans l"hélicoptère et su cacher son état un moment...


Un deuxième helico appelé par la représentante de félicie, se présenta quelques minutes après l'évacuation des militaires (d'ailleurs qui est monté dedans ?), et se dirigea vers la base militaire de rouen...


Puis une forte explosion provoquée par la bombe placée à l'entrée de la panic room détruisis une bonne partie du site, mais pas le site en entier comme cela était prévu... des survivants ceux se trouvant dans la foret au moment de l'explosion réussirent à fuir à travers bois, subissant tout de meme une forte exposition aux radiations, seuls ceux aillant été vacciner purent avoir une chance de survie...

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